les grands travaux
réalisés après la construction :
(historique:
liste des grands travaux)
(résumé
1972-2002) _ gazette
n°279-mai 2002
_23 -
(dates à préciser) protections
collectives
___ (longueur=... coût= 296 749,67€ dont 11 880,03€(ATIC)_
fasc.bud-2021.p.28-29)
_22 - (17 mai au 2 juin 2021) -
réfection de l'allée centrale du parking du square des Ormes (environ
.... m2)
- (devis
estimé à .....€ )
_21 - ( 2021) : -
Boîtes aux
lettres
(coût partiel = 90 154,68 €)
_20 - (oct 2020 - janv 2021) -
isolation du plafond du sous-sol des immeubles (environ 20 000 m2)
- (devis
estimé à 311 418 € _ coût GT= 1 € )
_19 - (3T-2019) -
calorifugeage des réseaux de chauffage et ECS
(13km)
- (devis
estimé à 450 000 € _ coût GT= 1 € )
_1 -
(1973-1974) - 1ère rénovation de la chaufferie centrale
- coût de 3 MF ( 19,20MF -> 2,9MEuros_2022):
_2 - (1987-1989) - réhabilitation des façades, terrasses et
pignons
- coût total = 67 MF ( 122,5
MF -> 18,7 MEuros_2022)_
-
comptes de gestion->10 189 556 euros_1986-87 (dont 3 735 000 parties
privatives)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p13) +
ici
_3 -
(1987-1988) - modernisation de la réception centralisée des
programmes TV et Radio
- coût total = 2 MF (
2,96
MF -> 0,45 MEuros_2007)
_4 -
(1992-1996)
- rénovation du réseau de distribution de
l'eau chaude sanitaire :
- coût
total de 17,9 MF ( 26,85 MF-> 4 MEuros_2022)_
-
comptes de gestion->2 625 972 euros_(792 981(1993)+641
346(1994)+676 014(1995)+515 451(1996)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12 et +)
_5 -
(1995-1996)
- aménagement des bureaux de
l'USGT :
-
coût total = 1,9 MF ( 2,3 MF -> 0,35 MEuros_2007) _
-
comptes de gestion->290 271 euros_1996
_6 -
(1999) - 2ème rénovation de la chaufferie centrale
(maj: 29/09/2008)
- coût de = 47,2 MF( 67,20 MF -> 10,25 MEuros_2022) _
-
comptes de gestion->7 127 602 euros_2000
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p11 et +)
_7 -
(été 2000 et
été 2001) - rénovation du réseau primaire de
chauffage :
- coût
total = 2,3 MF ( 2,6 MF -> 0,4 MEuros_2007)
-
comptes de gestion->452 828 euros_2002(237 984(2011)+214845(2002))
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12)
_8 - (
2003-2005) - rénovation des sous-stations
(gazette n°279-mai 2002)
(
interface
entre le réseau primaire et les réseaux secondaires de chauffage et de
l'eau chaude sanitaire) :
-
coût total = 491 095 Euros ( 3,2 MF _ 2002 -> 538 000 Euros_2007)
-
comptes de gestion-> 517 527euros_2003/5_(430
151(2003)+10008(2004)+77 370(2005)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12)
_9 -
(2003/2005) - aménagement en vue de la collecte
sélective des déchets ménagers (maj:
06/10/2008):
- coût de l'aménagement des S/S = 671 741 Euros ( 4,4 MF _
2002 -> 735 000 Euros_2007)
-
comptes de gestion->676 765 euros_2003/5_(605
732(2003)+14 180(2004)+56 853(2005))
- coût du site de transit = 88 059 Euros ( 0,577 MF _ 2005 ->
96 952 Euros_2011) (gazette
n°279-mai 2002)
_10 -
( sept 2006 à
déc.2007) - organisation des accès des immeubles OAI (maj :
16/10/2008) :
- coût
total = 506 233 Euros
-
comptes de gestion->528 972 € (fasc.budg.2011 p.17)
_11 - (2007) - changement des vannes au pied des
colonnes et fin de la GTC
-
comptes de gestion->147 774 euros_2007
_12 -
(été 2008) - remplacement de 1200 volets détruits par l'orage de
grêle du 19 juin 2007
(maj : 09/10/2008):
- coût
total = 520 000 Euros (remboursé par les assurances)
_13 - (mai-septembre 2009) - remplacement de 3500 tés de réglage du
chauffage
-
comptes de gestion->302 111 euros (fasc.budg.2011 p.18)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p13)
_14a - (juillet-nov.2013) - rénovation des moteurs de
cogénération
_
+ Chaudière à condensation (# 420 000 € - coût GT= 0 €)
_
coût total estimé = 1 540
000 €
_coût réel
__________ + Prélèvement sur Fonds de Réserve = 754 690,43 €
__________ + Financement P4 sur 3 ans (chaufferie) = 261 876,88 € *3 =
785 630,64 €
____________ Total = 1 540 321 €
► + chaudière à condensation
(voir fasc.budg.2014 p.20) =
__________ + subvention CEE (Certificat d'Économie d'Énergie) = 410173 €
__________ + Mairie = 19 791,71 €
- clôture
des comptes = 1 884 655,14 € (réso18-AG2014_gazette
n°330 sept.2015+voir fasc.budg.2014 p.20)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p11)
_15 -
(2012 - 2016) - Remise aux Normes du Réseau
Electrique
15a - (2012 - 2014) - RNRE (squares Sablons+Villebenettes+Aubades)
-
comptes de gestion = 140 000 euros (2012) +143 952,91 euros (2013) +
139 350,24 euros (2014)
- coût
total = 423 303,15 Euros (dépenses de fonctionnement W328 )
_15b - (2014) - RNRE(squares Grandchamp+StGermain+Monte-Cristo+Montferrands+Ormes)
- coût
= 655 319,44 euros (réalisation 2014 - prélevé sur Fonds de Réserve)
15c - (2015) - remise aux normes du réseau
électrique (square de Versailles)
- coût = 139 577 Euros (dépenses de fonctionnement W328)
15d - (2016-2017) - remise aux normes du réseau
électrique (bureau de gestion)
- coût estimé = 60 000 €
(2016) + 10 000 € (2017) (dépenses de fonctionnement W328)
- coûts réels = 26
378 €
- coût total RNRE
= 1 244 577 €
_16 - (2014-2015) - rénovation du réseau de gaz
-
rénovation du réseau de gaz
: 1ère estimation du coût = 2 089 000 €
(G.n°324_décembre 2013)
- rénovation du réseau gaz
: 2ème estimation du coût = 1 512 500 € (G.n°325_avril 2014)
-
APD (rénovation du réseau de gaz)
= 60 000 euros (AG 2014
- prélevé sur Fonds de Réserve)
-
résultat de l'ADP septembre
2015) coût estimé = 3 058 936,73 euros
(G.n°331_décembre 2015)
_17 - (2013-2016) -
réfection du réseau primaire enterré de chauffage (photos_chantier)
( maj : 28/10/2016)
-
localisation des fuites et réparation du réseau primaire de chauffage (G.n°324_décembre 2013)
- rénovation du réseau
primaire de chauffage et 1ères estimations (G.n°325_avril
2014)
-
APD (réfection du réseau primaire
enterré (seul) = 72 000 euros (réso21-AG 2014 - prélevé sur F.R.)
- résolution n°19
de l'AG2015 relative à rénovation du réseau
primaire de chauffage (G.n°330_septembre
2015)
- coût estimé des
travaux = 761 741,34 euros (720 741,34 euros - prélevé sur F.R)
-
planning et plan
de rénovation du réseau
primaire enterré de chauffage (G.n°332_avril
2016)
-
travaux supplémentaires
de rénovation du réseau
primaire enterré de chauffage (G.n°334_octobre
2016)
-
coût estimé des travaux supplémentaires
= 85 000 € + 165 000 € (250 000 € prélevé sur F.R.)
- coût total = 761 741,34 + 250 542,56 (FBp23)= 1 012 283,90 € (971
416,43 € - prélevé sur F.R)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12 et +)
_18 - (2016) -
financement des travaux de remise en état du local supervision en
chaufferie
-
désignation détaillée des travaux et financement (coût 52 891,25
€ prélevé sur F.R _ G.n°333_ août 2016)
_19 - (3T-2019) -
calorifugeage des réseaux de chauffage et ECS
(13km)
- (devis
estimé à 450 000 € _ coût GT= 1 € )
|
1 - 1ère rénovation de la chaufferie centrale
(1973-1974) :
.L'installation initiale fonctionne dans de bonnes conditions pendant une
dizaine d'années, mais dès 1963, des difficultés apparaissent pour
atteindre leur point culminant en 1970 : de nombreux arrêts de chauffage
interviennent, les canalisations du réseau primaire éclatent, les
réparations nécessitent parfois des terrassements importants. De plus
les chaudières sont dans un état de vétusté inquiétant. .Il faut donc envisager la construction d'une nouvelle installation. Une
commission "chauffage", constituée par des propriétaires
et des résidents, tous bénévoles, est chargée par le Conseil de
Gestion de se pencher sur ce problème. Elles est assistée par un
ingénieur-conseil extérieur. |
localisation
|
.Pendant deux ans, cette commission fait un travail considérable, étudie
toutes les solutions possibles, consulte l'architecte, Mr Lods et son
conseiller technique, un ingénieur qui a suivi avec lui toute la
construction des Grandes Terres.
.Trois solutions sont envisagées et
minutieusement étudiées :
- chaufferie centrale "haute pression à eau surchauffée à
180°C, c'est la technique de la centrale initiale, mais la nouvelle
installation exige le remplacement des chaudières, la réfection du
réseau primaire, la création d'une galerie technique et la
transformation des sous-stations. A cette occasion, la mise en conformité
avec les règlements de sécurité en vigueur devra être faite.
Ce projet est retenu. La commission rédige un cahier des charges très
précis, mais en en juillet 1971, le projet est abandonné en raison des
contraintes techniques et un avis de Mr Lods et de Mr Cretigny :
l'ouverture d'une tranchée traversant les Grandes Terres, pour installer
les canalisations du réseau primaire en galerie technique, détruirait
les espaces verts et une partie importante de la végétation.
- chaufferie par square ayant comme combustible le gaz. Là
aussi, la commission rédige un cahier des charges très précis,
insistant notamment sur les problèmes de sécurité et de bruit.
Mais en décembre 1971, a lieu l'explosion de la tour d'Argenteuil. Les
résidents des bâtiments "nord-sud" sont très inquiets et
très réticents, car la chaufferie se trouve dans leur sous-sol. En
accord avec notre architecte, on envisage un construction extérieure, à
5 mètres au moins des bâtiments. L'étude se poursuit, des assurances
sur la sécurité, sur l'installation sont données à tous.
Les prix reçus sont décevants. De plus, les frais d'exploitation du fait
de la dispersion des chaufferies ne sont pas négligeables. Ce deuxième
projet est à son tour abandonné.
- chaufferie centrale à basse pression 110°C. Initialement ce
projet est éliminé, canalisations importantes, pompes plus puissantes.Mais les offres proposées par un certain nombre de soumissionnaires
permettaient de constater que l'équipement de la centrale thermique en
chaudières "basse pression", limitaient les dépenses, même en
tenant compte du renforcement des pompes. Les dégradations concernant les
espaces verts et les plantations étaient moins importantes que prévu, du
fait du passage des canalisations en sous-sol. .En définitive, c'est le projet qui fut réalisé en 1973 par la C.G.E.C.
: chaufferie avec 5 chaudières de 4000 kTh/h fonctionnant au fuel lourd
n° 2, basse teneur en soufre et 9 sous-stations réorganisées avec
échangeur instantané. La réception en fut prononcée le 26 janvier
1974.
.Par ailleurs, le choix entre les deux système de traitement du calcaire
pour l'eau chaude sanitaire s'est porté sur celui de l'électrolytique
Guldager en raison du moindre coût d'exploitation que celui classique par
résine échangeuse d'ions.
La commission "chauffage" a fait un excellent travail.
Qu'hommage lui soit rendu ici.
-
réalisation en 1973-1974
- vote avec 71,3%
des voix aux AG de 1972
- coût de 3 MF (16,65MF -> 2,5MEuros_2007)
- financement par paiement comptant ou par emprunt)
La C.G.E.C., entreprise installatrice, assure le fonctionnement et
l'entretien de l'ensemble thermique (contrat prévu jusqu'en 1990) à la
satisfaction générale. Cette chaufferie fonctionnera
pendant 25 ans jusqu'en 1999 (voir
2ème rénovation)
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p11 et +) |
|
|
haut de page
2 - Réhabilitation des façades, des terrasses et des pignons (1987-1989)
:
C'est le deuxième grand chantier
abordé dès 1980 à la suite de l'augmentation importante du coût de la
production de chaleur essentiellement due à celle du fuel. Le diagnostic
thermique des installations et des bâtiments établi en 1984 par le
Centre National d'Etudes et de Mesure et d'Expertise (CNEME) a justifié
le lancement d'un programme de réhabilitation, normale au bout de 25 ans,
des façades, des terrasses et des pignons, avec l'objectif de réaliser
des économies d'énergie.
isolation des façades |
isolation des terrasses |
En particulier, pour les façades il convenait
d'améliorer l'étanchéité défaillante en raison des dégradations des
boiseries des barres d'appui et des pieds de meneau avec le remplacement
des fenêtres (parties privatives) par des vantaux à double vitrage, et
des allèges (parties communes) solidaires du même châssis par
construction (cliquez sur les miniatures).
façade avant 1987 |
façade pendant les travaux |
façade après |
Des trois solutions possibles de
rénovation avec menuiseries bois, plastique ou métallique, c'est cette
dernière qui a été choisie en raison de la durabilité, de
l'esthétique, et du confort des résidents grâce aux vantaux
coulissants.
fenêtre de cuisine avant 1987 |
fenêtre de cuisine après 1987 |
baie du balcon avant 1987 |
pendant les travaux |
baie du balcon 1987 |
Le devis étant élevé, certains
perfectionnements onéreux n'ont pas été retenus, tels que
l'amélioration de l'isolation phonique des fenêtres et thermique des
menuiseries métalliques complétant celle due aux doubles vitrages, et
des persiennes plus robustes que des jalousies.
fenêtre de chambre avant 1987 |
fenêtre de chambre après 1987 |
porte d'entrée avant 1987 |
porte d'entrée après 1987 |
Bien que le projet ait été voté par
68,2% des voix, neuf copropriétaires ont assigné cinq syndicats pour
annulation des résolutions concernant les parties privatives. Le Tribunal
de Grande Instance de Versailles a privilégié le volet juridique par
rapport à la réalité technique, pris le parti de quelques
propriétaires contre la majorité d'entre eux, et condamne les cinq
syndicats.
A noter que les cinq autres Présidents-syndics auraient pu
réaliser la totalité des travaux, mais l'USGT, fidèle à sa conception
d'une gestion unique de tous les squares, a préféré modifier à
nouveau le projet en présentant séparément les travaux, sur les parties
communes et sur les parties privatives.
L'organisation en a été beaucoup
plus complexe mais l'objectif poursuivi a été atteint, puisqu'il ne
reste plus qu'une vingtaine d'appartements qui ont gardé leurs fenêtres
d'origine à simple vitrage, non étanches et qu'une économie importante
de consommation de fuel a été réalisée en même temps qu'une amélioration
du confort dans les appartements.
Les travaux comprenaient :
1 - la dépose des châssis de façade de chaque
appartement et la pose, le même jour, d'un ensemble de
croisées à deux vantaux coulissants à double vitrage, complétés de
volets, et des allèges avec des panneaux isolants. |
|
2 - la réfection
des terrasses avec renforcement de l'isolation thermique.
|
|
3 - la pose de panneaux de laine de verre
protégés par un parement en matériau auto-lavable sur les pignons, |
|
4 - l'isolation des cuves à fuel,
5 - la mise en place de système de régulation de
chauffage et de production d'eau chaude sanitaire sur le primaire et
dans
les sous-stations.
- - Etudes préalables : de février 1980 à avril 1986,
soit 6 ans 3 mois
- Neutralisation due aux procès: de avril 1986 à février
1987, soit 10 mois
- Décision aux Assemblées Générales extraordinaires
de février 1987 : accord avec 78,15 % des tantièmes.
- Travaux : . lancement de février 1987 à octobre 1987,
soit 8 mois . réalisation de octobre 1987 à février
1989, soit 1 an 4 mois
- Soit une durée totale de 9 ans 1 mois.
- - Entreprises: DENTAND ( menuiserie ), SOPREMA (
terrasses ), PINIER ( pignons ), CGEC ( chauffage ) .
- Maîtrise d'uvre - architecte : GRELLIER - Bureau
d'ingénierie : CODIBAT - Contrôle technique : CEP -
Assurance dommage-ouvrage : UAP
- coût des partie communes = 42,5 MF
- coût des parties privatives = 24,5
MF
- coût total = 67 MF (99
MF -> 15 MEuros_2007)
- financement :
.des parties communes par
paiement en 7 trimestrialités ou par voie d'emprunt remboursable en 40
trimestrialités
.des parties privatives
par paiement comptant avec acompte de 25% à la commande et le solde au
moment des travaux
- - Réception des travaux "Parties communes" par
square avec CODIBAT, l'USGT et le Président Syndic du
square.
- Réception des travaux "Parties privatives"
par appartement avec CODIBAT, les copropriétaires et la cellule
administrative. .
- Pour mémoire les travaux de réhabilitation portaient sur :
- 24 165 m2 de terrasses
- 8 646 m2 de pignons
- 4 887 m2 d'acrotère
- plus de 7 498 fenêtres
ont nécessité la mise en œuvre de :
- 500 tonnes d'aluminium
- 500 m3 de laine minérale
- 2 200 m3 de polystyrène
- 30 000 m2 de vitrage isolant
-
8 500 m2 de bardage
- 125 tonnes de bitume
- 1 000 m3 de
gravillons
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p13)
|
haut de page
3 - Modernisation de
la réception centralisée des programmes TV et Radio (1987-1988) : 3-1 Installation d'un réseau à
l'occasion du remplacement des 78 antennes d'escalier d'origine
nécessité par la réfection des terrasses et comprenant :
- un groupe d'antennes sur la terrasse du n°3 square des
Ormes, le mieux situé pour obtenir la meilleure réception,
- une station unique de réception et d'amplification des
signaux,
- une distribution par câble dans les sous-sols et dans les
escaliers jusqu'aux boitiers de dérivation à chaque étage,
- vote approuvé avec 79,4% des voix aux assemblées générales
de février 1987,
- réalisation 1987-1988
-
coût total = 2 MF ( 2,96
MF -> 0,45 MEuros_2007) (cliquez sur les photos)
3-2 Parallèlement,
l'autorisation est accordée aux PTT d'installer un réseau câblé
intercommunal dont l'exploitation commerciale est assurée par une
filiale de la Société Lyonnaise des Eaux (SIDE-COM devenue par la suite
NOOS et par la suite NUMERICABLE).
Les résidents peuvent être branchés sur ce réseau
installé gratuitement et indépendant du réseau propre à l'Union en
contractant directement un abonnement avec NUMERICABLE
|
haut de page
4 - Rénovation du réseau de distribution de
l'eau chaude sanitaire (1992-1996) :
(Concerne 5 500 m de tuyaux et 625 vannes, entartrés et
corrodés) Malgré le système Guldager et en
raison du TH 35° très élevé de l'eau, le réseau présentait des
anomalies de fonctionnement de plus en plus graves, avec coudes, vannes et
même des canalisations horizontales très entartrés.
Après expertise par le Laboratoire
National d'Essai dans le cadre du diagnostic général du domaine des
Grandes Terres en 1985 qui avait prévu que la situation du réseau
deviendrait critique dans 6 ans, une nouvelle expertise en 1989 confirme
que dans certaines sections, il ne subsiste plus que 10% des sections
d'origine, mais que le réseau d'eau froide a une durabilité estimée
supérieure à 10 ans.
En conséquence, il est décidé de
procéder au remplacement du réseau d'eau chaude sanitaire :
- études préalables : de janvier 1989 à mai 1992, soit
3 ans 4 mois
- décision aux Assemblées Générales ordinaires de mai
1992 : accord avec 65,42% des tantièmes
- travaux : . lancement : de juin à septembre 1992, soit
3 mois
- réalisation : de septembre 1992 à juin 1996,
soit 3 ans 9 mois - soit une durée totale de 7 ans 4
mois
- entreprise : C.G.E.C. - Maîtrise d'uvre :
Architecte CROUE (Cabinet DEGRAMONT/CROUE)
- Contrôle
technique : C.E.P. - Assurance Dommage Ouvrage :
compagnie SPRINKS
- coût
total de 17,9 MF ( 22,8 MF-> 3,5 MEuros_2007)
-
financement en 16 trimestrialités sans emprunt
Ces travaux ont présenté des
difficultés techniques et juridiques dues aux remplacements des colonnes
montantes transitant aux travers des parties privatives des appartements
en cuisine et en salle de bains pour lesquelles les accès souvent
dissimulés par les coffrages devaient être dégagés en même temps en
raison du bouclage du réseau rendant solidaire les 20 appartements de
chaque escalier. Ce chantier a été difficile à gérer.
Il convient de noter que l'on n'a pas
retenu de remplacer en même temps le réseau d'eau froide (pour 10 MF
supplémentaire). Le problème de sa rénovation se pose donc maintenant,
dans un délai qu'il faudra fixer, avec la perspective
d'un coût plus élevé et de travaux à l'intérieur des appartements
puisque les canalisations verticales du réseau cheminent à travers les
parties privatives.
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12 et +)
|
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5 - Aménagement des bureaux de l'USGT
(1995-1996) :
L'objet était d'utiliser le
patrimoine existant au coeur du domaine des Grandes Terres, ancien
pavillon modèle, puis première Maison des Jeunes et de la Culture à
Marly, afin : -
d'économiser le loyer des locaux du centre commercial où se trouvaient
les
bureaux de l'USGT,
- de
donner aux collaborateurs de l'USGT et aux propriétaires bénévoles des
conditions de travail normales,
- de
disposer de salles de réunion pour les commissions, le conseil de
gestion, les
conseils syndicaux et les assemblées générales.
Le message a été difficile à passer aux
copropriétaires, parce qu'ils n'avaient pas conscience que ces travaux
les intéressaient directement comme le chauffage et l'eau chaude
sanitaire.
Un premier projet avait été rejeté par
les assemblées générales de 7 squares aux votes des assemblées générales
ordinaires de mai 1993.
|
|
. Un second projet plus réduit a
été voté, parce qu'il a été financé par prélèvement sur le fonds
de réserve :
Les travaux comprenaient :
-
études préalables : de février 1992 à avril 1995,
soit 3 ans 2 mois
- décision aux Assemblées Générales ordinaires du printemps 1995 : vote avec 79,53% de tantièmes.
- travaux : . lancement : d'avril à juin 1995, soit 3
mois.
- réalisation : de septembre 1995 à janvier 1996,
soit 4 mois - soit une durée totale de 3 ans 9 mois
- entreprise : Constructions Nouvelles SONAB.
- maîtrise
d'uvre : Architecte CROUE (Cabinet DEGRAMONT/CROUE)
- contrôle technique : C.E.P.
- assurance Dommage-ouvrage
: SOGET-SIEFFERT SARL
- coût total de 1,9 MF ( 2,3 MF-> 0,35 MEuros_2007) -
financement par prélèvement sur le fonds de réserve, reconstitué
progressivement par des gains réalisés sur le
budget de fonctionnement.
|
haut de page
6 - 2ème
rénovation de la chaufferie centrale (1999)
- la
cogénération aux GT (G.265_février
1999)
Après de longues études (commencées en 1989 en
raison de l'augmentation substantielle du prix du fuel), en vue de changer de combustible, du fuel
par le gaz, puis de remplacer les chaudières en fin de vie, et enfin de restructurer les bâtiments
contigus : chaufferie, magasin-atelier, bureaux et atelier-chargeur
de batteries.
Le choix s'est porté sur un complexe cogénération d'un
investissement plus lourd, mais permettant une exploitation très allégée par la
vente à EDF de l'électricité produite du 1er novembre au 31 mars.
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localisation
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Les travaux comprenaient :
1- la rénovation des bâtiments, celui abritant la
chaufferie devant conserver son architecture métallique initiale de
M.Lods
à la demande des Bâtiments de France avec:
- des fondations
profondes sur pieux armés et un radier féraillé pour ancrer l'ensemble
dans la colline,
- un caisson en béton
autour des moteurs,
- une cheminée unique,
- les autres bâtiments
étant reconditionnés aux normes du jour,
- la création d'un nouveau
bâtiment local-chargeur à la place des cuves de fioul.
2 - l'installation thermique avec :
- 4 moteurs thermiques au
gaz turbo compressé couplés avec des alternateurs produisant au total 5
000 kw thermiques et 4 000 kw électriques.
- 2 chaudières à gaz de
puissance totale de 9 000 kw,
- des annexes : circuits
de refroidissement et de récupération de chaleur sur les gaz brûlés ,
aéroréfrigérents, un transformateur de courant produit de 400 à 15 000
volts, un poste de livraison EDF
3 - l'amélioration de l'équipement des
9 sous-stations situées dans sous-sols des bâtiments nord-sud avec
l'installation d'une télésurveillance.
4 - l'installation d'une chaufferie
provisoire durant les travaux.
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2 - l'installation thermique avec :
- 4 moteurs thermiques au
gaz turbo compressé couplés avec des alternateurs produisant au total 5
000 kw thermiques et 4 000 kw électriques.
- 2 chaudières à gaz de
puissance totale de 9 000 kw,
- des annexes : circuits
de refroidissement et de récupération de chaleur sur les gaz brûlés ,
aéroréfrigérents, un transformateur de courant produit de 400 à 15 000
volts, un poste de livraison EDF
3 - l'amélioration de l'équipement des
9 sous-stations situées dans sous-sols des bâtiments nord-sud avec
l'installation d'une télésurveillance.
4 - l'installation d'une chaufferie
provisoire durant les travaux.
En résumé :
- études préalables : de novembre 1989 à octobre 1998,
soit 10 ans
- décision aux Assemblées Générales Extraordinaires
de novembre 1998 : accord avec 79,53 % de tantièmes.
- travaux : . réalisation : de février 1999 à février
2000, soit 13 mois - soit une durée totale de 11 ans 4
mois
- entreprise : ELYO (ex CGEC)
- assistant maître
d'ouvrage : Daniel CAZAUX - Architecte : Charles BERTHIER
- mesures acoustiques : AUDICLIM - Coordination SPS :
APAVE - Bureau d'études Génie Thermique pour la
- conception : BETOM Ingénierie
- bureau d'études Génie
Civil et thermique pour la réalisation, maître d'uvre
: Auxiliaire BTP
- contrôle Sécurité : CEP
- huissiers
: Maîtres PORTE et GOSSERET - Assurance Dommage-ouvrage: Cabinet Lange
- Coût : 47,2
MF (54,4 MF -> 8,3 MEuros_2007)
- financement : . soit comptant en 3
trimestrialités, . soit emprunt global USGT sur 12 ans (48
trimestrialités).
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p11 et +)
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7 - rénovation du réseau primaire de
chauffage (été 2000 et été 2001):
(gazette n°279-mai 2002)
Plusieurs fuites en 1997,
en 1998, puis en 2000, ont mis en évidence la corrosion extérieure des
canalisations dans les parties enterrées du réseau installé en 1973. Il
a été décidé de procéder en urgence à des rénovations : - en 2000, du
réseau primaire enterré dune longueur de 230 mètres reliant, à travers le parc central,
entre les squares
de
Monte-Cristo et de Saint Germain (le réseau Est et Ouest ; coût =
240 000 euros (272 230 euros_2007))
- en 2001, d'une
deuxième tranche du tronçon, reliant sous l'avenue de l'Europe, la
chaufferie au square de
Monte Cristo
( coût = 212 000 euros (236 560 euros_2007))
- réalisation en
été 2000 et en été 2001,
- vote approuvé
par 97,6 % des voix aux AG de 2000 et 2001
- financement par
paiement comptant ou par remboursement de l'emprunt collectif en 24
trimestrialités.
Considérant que ces travaux avaient levé
l'hypothèque d'une rupture dramatique du réseau primaire âgé de 30
ans, il a été décidé de remettre à une date ultérieure l'achèvement
de la rénovation du réseau enterré relative aux liaisons entre
bâtiments.
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12 et +)
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8 - Rénovation des sous-stations
(gazette n°279-mai-2002
_ p.2à7)
(
interface
entre le réseau primaire et les réseaux secondaires de
chauffage et de
l'eau chaude sanitaire) :
__ La prise de conscience de
la nécessité d'éradiquer les bactéries légionelles et de combattre
les dépôts de calcaires dans les canalisations d'eau chaude sanitaire
ont conduit à proposer la rénovation, dès 2002, des sous-stations.(voir
exposé en détail par Mr Michel PILLOT, Président-syndic du square
de Saint Germain qui a participé aux études avec la commission et le
maître d'oeuvre). En résumé, ces travaux consistaient à
améliorer la circulation du fluide primaire et la qualité d'eau chaude
sanitaire en installant un dispositif adoucisseur de calcaire par résine
échangeuse d'ions avec protection filmogène des canalisations et la
réduction des ballons. L'eau très dure avec 35°TH est ramenée à 15°TH et
l'eau chaude sanitaire produite à 60° est distribuée entre cette valeur
et plus de 50° au retour, température suufisante pour détruire les
légionelles.
- étude
préalable : dès février 2001
- vote approuvé
avec 80 % des voix aux AG de mai-juin 2002
- travaux : 1 an à
partir d'août 2002
-
coût total = 491 095 Euros ( 3,2 MF _ 2002 -> 538 000 Euros_2007)
-
financement au comptant ou par emprunt global USGT sur 6ans avec
remboursement sur 24 trimestrialités
L'assignation par quatre copropriétaires
du syndicat du square des Aubades pour annulation des votes ( en même
temps que pour les aménagements pour la collecte sélective des déchets
ménagers - voir chapitre ci-dessous) a suspendu les travaux pour ce seul
square. Ils ont été repris après deux ans et huit mois de procédure, de
jugement et d'une nouvelle assemblée générale du syndicat votée par 88%
des voix pour les deux résolutions avec une plus-value de 19 890 euros
en raison de la dérive des prix en deux ans et des frais de lancement
d'un chantier unique.
►état en 2023-->
DPE-DTG_2023_Global ENERGYS_(gazette 361_p12 et +)
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9 - Aménagement en vue de la collecte
sélective des déchets ménagers (2002-2005) :
pour plus de détails :
_____1- projet rédigé par Mr
R.Moschini en date du 26 mars 2002
_____2 - article paru dans la Gazette
n°279 de mai 2002 (p.8
à 14)
_____3 - article paru dans la Gazette
n°290 de février 2005
_____4 - article paru dans la Gazette
n°306 de mai 2009
La loi 92-646 du 13 juillet 1992 fixait un délai de 10 ans pour
moderniser la gestion des déchets et maîtriser les coûts de leur
élimination, c'est-à-dire :
- prévenir ou réduire la production des déchets,
- les valoriser par re-emploi, recyclage et récupération de
l'énergie,
- traiter la fraction non récupérable ou non réutilisable en
respectant l'environnement. Une circulaire du Ministère de l'Aménagement du
Territoire et de l'Environnement du 28 juillet 1998, conforme à une
directive européenne en cours, rappelait qu'au 14 juillet 2002, seuls
les déchets ultimes seraient admis en centre de stockage (les déchets
ultimes sont ceux résiduels qui demeurent après avoir subi une
extraction par collecte sélective ou par tri) :
- des matériaux ( verre,
papier, carton, plastique) en vue de leur recyclage,
- de leur fraction
fermentescible ou biodégradable en vue de leur traitement biologique
(compostage, méthanisation) ou de leur épandage agricole.
C'est ainsi que la Mairie de Marly le Roi, après
plusieurs années d'étude, a conclu un accord de partenariat avec le
Syndicat Intercommunal pour la Destruction des Ordures Ménagères et la
Production d'Energie (SIDOMPE), les sociétés Temaco, CGEA-ONYX,
Eco-Emballages et l'Agence pour le Développement Et la Maîtrise de
l'Energie (ADEME). La collecte sélective des déchets ménagers a été
lancée en octobre 2000. Elle impose évidemment à tous les habitants de
la commune, les Grandes Terres ne pouvant pas faire exception.
Les travaux rendus nécessaires dès 2002
comprenaient l'aménagement des locaux vide-ordures en sous-sol pour
accueillir les différents conteneurs spécialisés au pied des 78
escaliers et du site de transit commun aux dix syndicats dans l'espace
chaufferie.
En partenariat avec la Mairie, qui a implanté les
bennes municipales collectrices dont certaines compactrices et organisé
leur enlèvement, cette solution écologique est un modèle en copropriété
en améliorant l'hygiène de la chaîne d'évacuation des 72 tonnes de
déchets ménagers en moyenne par mois :
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localisation
projet
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1 - Aménagement des
sous-sols des bâtiments
- vote approuvé aux AG de mai-juin 2002
- par 7 syndicats au premier tour avec 64% des voix
- par 1 syndicat au deuxième tour avec 51% des voix
- par 2 syndicat aux AG extraordinaires de septembre 2002 avec 65% des
voix
- travaux d'août 2002 à juillet 2003
- devis pour l'aménagement des sous-sols des bâtiments
- 671 741 Euros (735 645 Euros_2007)
2 - aménagement du site de
transit
- vote approuvé aux AG de mai-juin 2002
- par 6 syndicats au premier tour avec 58% des voix
- par 3 syndicat au deuxième tour avec 59% des voix
- par 1 syndicat à l'AG extraordinaires de septembre 2002 avec 58% des
voix
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- travaux de février à mai 2005
- devis du site de transit à l'espace chaufferie (80 000 Euros)
-
financement par
paiement comptant ou recours à l'emprunt global USGT sur 6 ans (24
trimestrialités)
Cette réalisation, où transitent plus de 800
tonnes de déchets ménagers par an, est une réussite (respect de
l'environnement, de l'hygiène et de la sécurité). Toutes nos félicitations
aux gestionnaires (copropriétaires bénévoles et employés) qui ont participé aux nombreuses...et longues réunions avec
les professionnels du marché.
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10 -Organisation des Accès des Immeubles (OAI - sept 2006 à déc 2007) :
L'objectif étant d'améliorer la sécurité des personnes
et des biens au moyen de dispositif de fermeture des portes permettant
d'organiser l'accès des immeubles, halls d'entrée et sous-sol.
Un premier projet complet, comprenant également des sas de
séparation en sous-sol, et de ce fait plus onéreux avait été rejeté par
tous les syndicats de square aux votes des AG de mai-juin 2004.
_ 1er projet: 1 954
460 €
(gazette n°287 -
mai-2004
_ p 25-45)
_ maintenance 4%= 55 420 €
_ appartement 66 m2 = 1 412 €
Un deuxième projet plus simple, dit allégé, comprend :
- une platine portier
interphone anti-vandale associé à un lecteur de badges magnétiques
, côté porte d'entrée (équipée d'un bandeau anti-vandale) sur hall avec,
dans chaque appartement, un combiné téléphonique assurant l'ouverture à
distance de la porte d'entrée par contact électromagnétique,
- un lecteur extérieur de
badges magnétiques à la seconde entrée (opposée à l'entrée principale)
équipée également d'un bandeau anti-vandale, |
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- un lecteur extérieur de
badges magnétiques à la porte du sous-sol, adjacente à la porte
basculante et équipée d'un bandeau anti-vandale
- chaque porte, à
l'intérieur, dispose bien entendu d'un bouton-poussoir de sortie.
_ gazette n°295-mai 2006 p.7 à 11
- vote approuvé avec 73% des voix par
six syndicats aux AG de mai-juin2006
- vote approuvé avec 56% des voix au
deuxième tour par quatre syndicats aux AG extraordinaires d'octobre 2006
- travaux : de septembre 2006 à décembre
2007
- coût
total = 506 233 Euros ( 3,3 MF_2006)
- financement : en 4 fois avec les appels
de charges de janvier à octobre 2007 |
12 -
Remplacement de 1200 volets détruits par l'orage de grêle du 19 juin 2007 (été 2008) :
Le 19 juin 2007 un violent orage de grêle s'est abattu sur les
Grandes Terres, endommageant 1200 volets dans 600 appartements
exposés à "l'ouest".
Il est à souligner, une fois de plus (rappelons-nous de la
tempête dans la nuit du 25 décembre 1999), l'efficacité des
gestionnaires des Grandes Terres, qui ont réussi, dans un temps
relativement court, à recenser les appartements 'touchés' (ce qui
parfois n'était pas évident) et à prendre 'en main' dans le cadre de
l'Union des Grandes Terres l'ensemble des travaux.
Le coût du remplacement de tout ou partie se
chiffre à 520 000 Euros. Cette opération a débuté au cours de la
deuxième quinzaine du mois de juin 2008 et devrait s'achever au mois de
septembre 2008. Il est à noter que cette somme est à la charge des
assurance hormis les franchises.
- coût
total = 520 000 Euros (remboursé par les assurances) |
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haut de page
19 -
Calorifugeage des réseaux de chauffage et d'eau chaude sanitaire (ECS)
-
juillet-octobre 2019
les brèves
des GT n°44 du 10/07/2019
_ Comme il est précisé dans les brèves n°44 du 10 juillet 2019 les
Grandes Terres ont bénéficié pour la seconde fois (la première étant en
2011 lors du renouvellement du contrat de chauffe pour une chaudière à
condensation...pour un montant substantiel de 420 000 €, coût pour les
GT= 0 €) de travaux éligibles aux Certificats d'Économies d'Énergie
(CEE), c'est-à-dire, le calorifugeage des réseaux de chauffage et d'eau
chaude sanitaire(ECS).
_C'est en mars 2019 que la direction de l'USGT apprenait que venait
s'ajouter le réseau d'ECS et que le 'kwh cumac* (unité de
base des CEE) passait de 2,5 € à 5,5 €...
_La conjugaison de ces deux paramètres a initié une étude auprès des
deux sociétés exerçant aux GT: ''Énergie et Services
''et ''Engie-Cofély '':
_ Les résultats, présentés en juin 2019, étaient très incitatifs
puisqu'ils présentaient un devis de 450 000 € entièrement financé
par le fournisseur d'énergie (Engie-Cofély) aux titres des CEE contre 1
€ symbolique pour les GT... pour 13 kms de canalisation de chauffage et
d'ECS..
_ L'opération de calorifugeage commencée vers la mi-juillet 2019 s'est
achevée le 25 octobre 2019. Ces travaux remarquablement réalisés par la
société VIT Isolation d'Alfortville associés à ceux de la remise aux
normes du réseau électrique dans le sous-sol de nos 27 immeubles
réalisés entre 2012-2017 pour un coût total de
1 244 977 € et la
réalisation des locaux de poubelles et ''vélos-motos-poucettes'' donnent
une ''cure de rajeunissement'' à nos sous-sols que de nombreuses
copropriétés bien plus ''récentes'' que la nôtre doivent nous envier...
d'ailleurs je vous invite à le vérifier par vous-même... vous avez
seulement quelques marches d'escalier à descendre... _*cumac:
abréviation des termes ‘cumulé et actualisé’ et permet de déterminer
la valeur financière d’un kwh d’énergie économisé en installant des
dispositifs énergétiques utilisant..
__:
https://economie-d-energie.ooreka.fr/astuce/voir/636995/cumac
|
avant 2019
''photo en attente''
2019
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haut de page
20 -
Isolation du plafond du sous-sol des immeubles (environ 20 000 m2) -
oct.2020 - janv.2021
► Ces
travaux consistent dans une projection d'une couche d'isolation sur les
plafonds des sous-sols des 27 immeubles pour l'amélioration du confort
et des économies d'énergie
_ durée
prévisionnele des travaux : du 5 octobre 2020 au 30 janvier 2021
_ société
exécutante : VIT Isolation
d'Alfortville (20personnes) - société ayant déjà réalisée
l'opération de calorifugeage du réseau de chauffage
Au titre des CEE (certificats d'économie
d'énergie - cumac *), notre prestataire ''Energie et Services'' a proposé
l'isolation des planchers bas des coursives, locauxtechniques, motos,
vélos, poussettes et tri
L'AGU a accepté ces travaux dont le coût s'élève à
311 418 € mais pour les GT celui-ci revient à 1€ symbolique car ces
derniers sont couverts par les CEE comme les opérations
précédentes réalisées en 2019 (calorifugeage du réseau de chauffage
450 000€) - GT= 1€) et en 2011 (chaudière à condensation 420
000 € - GT= 0 €)
La méthode utilisée est une projection d'une couche
d'isolation à base de laine minérale
Ainsi les appartements des rez de chaussée
devraient avoir un ''ressenti'' positif de température de 1 à 2°
l'avancement se fera bâtiment par bâtiment et
square par square
Ces travaux sont conséquents en manutention de
matériaux (sacs de laine isolante spéciale) nous ferons en sorte de
préserver au maximun votre tranquilité (affichage par square de
l'état d'avancement du chantier)
Il sera demandé aux occupants des locaux motos de
sortir leur engin en journée lors de l'intervention
Pour les locaux vélos, poussettes, une information
sera affichée: soit les résidents pourront sortir leur vélo ou
poussettes , soit ils seront protégés
Nous vous remercions pour votre compréhension et de
l'accueil que vous voudrez bien réserver aux compagnons de la société VIT-Isolation
Suivi des travaux par notre prestataire ''Energie
et Services''
_*cumac:
abréviation des termes ‘cumulé et actualisé’ et permet de déterminer
la valeur financière d’un kwh d’énergie économisé en installant des
dispositifs énergétiques utilisant..
__:
https://economie-d-energie.ooreka.fr/astuce/voir/636995/cumac
|
le produit
stockage
préparation-protection
pendant
après
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