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Evolutions journalière et mensuelle du prix du gaz (_PEGN - €/MWh) + du Brent en ($/B) _ maj: 16/04/2024____ - pour 2023 ---> ici __- pour 2022---> ici
 (les mécanismes d'achat du gaz sur les marchés - E&S-2022 _ Engie-2024)
(Evolution de la consommation et du prix journalier de l'électricité, du gaz (_PEGN - €/MWh) et du Brent en ($/B)---> ici

 

-►en ce début d'année 2024, en dépit des conflits dans le monde (Ukraine-Russie 24/02/2022 _ Israël-Hamas 07/10/2023) et les tensions au MO (mer Rouge), en Asie (mer de Chine, Corée du Nord et du Sud)... le coût du Brent est contenu dans une fourchette 75-80 $/b et le gaz, qui était passé au-dessous du seuil des 30 €/Mwh, vient d'atteindre les 33 €/Mwh à la fin de la 1ère semaine de janvier en raison de la vague de froid prévue dans les jours prochains...au cours des 2ème et 3ème  semaine de janvier, de nouvelles tensions géopolitiques (attaques US+GB contre des sites Houtis au Yémen) conjuguées aux vagues de froid qui sévissent aux USA et en Europe entraînent, le vendredi 12/01, le Brent au-delà des 80 $/b, pour revenir autour des 78 $/b, en raison des perspectives économiques atones pour 2024...quant au gaz, les records d'approvisionnement de la Norvège, entraînent le cours en dessous des 30 €/Mwh...au cours de la 4ème semaine de janvier, le Brent passe le seuil des 83 $/b, poussé par la vague de froid aux USA et en UE, la diminution de la production US de pétrole et de gaz de schiste, la baisse des stocks US et le vendredi 26/01, l'incendie d'un tanker par un missile houthis ... le prix du gaz oscille autour des 25 €/Mwh (meilleures prévisions météorologiques...)
__ fin janvier - début février, retournement du marché pétrolier avec un Brent qui repasse en-dessous des 80 $/b en raison: 1_des ''mauvaises''  nouvelles en provenance de la Chine (faillite de la société immobilière Evergrande, croissance ''molle'' avec une contraction de l'indice manufacturier < à 50% pour le 4ème mois consécutif donc moins d'importation pétrolière, 2_ la FED qui n'envisage pas, dans l'immédiat, la baisse de ses taux directeurs (5,25%-5,50%) d'où un dollar fort, 3_ la rumeur d'une trêve entre Israël-Hamas...quant au gaz, ce dernier reste au-dessous des 30 €/Mwh (stocks de GNL importants, températures au-dessus des moyennes saisonnières...). Au cours de la semaine du 5 au 9 février, les risques géopolitiques  (M.O., Ukraine...), ont ''boosté'' le Brent au-delà des 80 $/b... le cycle du ''yoyo'' se poursuit au rythme des annonces de lancement de missiles... le gaz continue sagement son chemin...du 12 au 18 février, le Brent passe au-dessus de 83 $/b en raison, d'une part, d'une baisse ''moins rapide'' de l'inflation aux USA à 3,1% au lieu de < à 3% et ainsi, d'un ''espoir'' qui s'éloigne d'une diminution des taux directeurs par la FED, et d'autre part, les derniers chiffres publiés par l'OPEP sur les prévisions de consommation (+ 2,3 Mb/j) pour 2024 (104,4 Mb/j) et 2025 (106,2 Mb/j) après 2023 (102,1 Mb/j), 2022 (99,8 Mb/), 2021 (97,5 Mb/j), 2020 (91,7 Mb/j) et 2019 (99,8 Mb:/j), renforcée, en fin de semaine, par les risques géopolitiques (Iran, mort suspect de l'opposant russe de A.Navalny...)... mais au cours de la 3ème semaine de février le Brent revient vers les 80 $/b .. le ''yoyo continue".... Pour le gaz, franchissement, à la baisse, du seuil des 25 €/Mwh, en raison des températures bien au-dessus des moyennes saisonnières et, de ce fait, des stocks, pour la même période de l'année, aux environs de 65% au lieu des 50%...
__ fin février-début mars, poursuite du yoyo... le Brent revient sur les 82 $/b suite aux incertitudes au M.O. (attaques houthis..., graves incidents au cours de distributions d'aides alimentaires à Gaza donc l'espoir d'une trêve s'amenuit), aux perspectives de prolongation de la réduction de l'OPEP+, à la légère reprise de l'activité manufacturière en Chine, à la ''désinflation'' US (2,4 % sur un an) d'où un ''desserrement'' possible des taux directeurs de la FED dans les prochains mois...quant au gaz, la tendance est à la hausse (> 25 €/Mwh), malgré l'annonce par le Qatar, de croître sa production de gaz à 142 Mt d'ici 2030 et les stocks à 65%....
___à la mi-mars et la semaine suivante, le Brent qui avait franchi le seuil des 87 $/b (niveau de novembre 2023) en raison des prévisions ''déficitaires'' de l'offre en 2024 par les agences (AIE=Agence Internationale de l'Energie et de EIA=Energy Information Agency) renforcées par la prolongation jusque fin juin, de la réduction de production de l'OPEP+ et revenu autours des 85 $/b après le maintien des taux directeurs de la FED renforçant ainsi le $ ... le prix du gaz se dirige vers les 27 €/Mwh, les problèmes liés aux opérations de maintenance des champs gaziers norvégiens ne doivent pas être étrangères à cette hausse...au cours de la dernière semaine de mars, le cours du Brent reprend le chemin des 87 $/b à la suite des craintes de baisse de la production de l'OPEP+ et notamment de la Russie, où de nombreux sites ''énergétiques'' ont été touchés par des drones ukrainiens... quant au gaz, celui-ci se maintient vers les 27 €/Mwh...

__ au cours de la 1ère semaine d'avril, le prix du Brent ''flirte'' avec les 90 $/b, suite à de nouvelles tensions géopolitiques (raid meurtrier israélien sur une annexe de l'ambassade iranienne à Damas) et un regain d'activité en Chine d'où une hausse de la demande et un risque d'une offre plus faible...malgré l'attaque massive iranienne dans la nuit du 13-14 avril (en réponse au raid israélien), le marché mise sur un ''apaisement'' plutôt qu'un ''embrasement'' lequel maintient le Brent autour des 90 $/b...quant au gaz, après avoir ''flirté'' quelques jours aux environs des 27 €/Mwh, repasse au-dessus des 30 €/Mwh....

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2023

-►  février 2024 GRTgaz publie la consommation de gaz en France au plus bas depuis 30 ans...
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https://www.connaissancedesenergies.org/afp/la-consommation-de-gaz-en-france-en-2023-au-plus-bas-depuis-une-trentaine-dannees-selon-grtgaz-240227  
-► mars 2024 Les émissions mondiales de CO2 liées à l'énergie enregistre un nouveau record en 2023:
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https://www.connaissancedesenergies.org/afp/les-emissions-mondiales-de-co2-liees-lenergie-un-nouveau-record-en-2023-240301 
----> https://www.revolution-energetique.com/nouveau-record-demissions-de-co2-liees-a-lenergie-en-2023/?utm_source=NLRE&utm_medium=email&utm_campaign=hebdo&pnespid=GLYw9ENUuCwVlEWTu4_NTxESrQJikqguugtTGLgcK5.K0aUyxcH._yc2tc1mb7exe7uFeJiUPQ 

-►en ce début d'année 2023 restons ''POSITIFS'', le maintien des températures au-dessus des moyennes saisonnières entraîne une diminution de notre consommation de gaz pour le chauffage et l'impact sur nos stocks ne peut être que bénéfique...d'où un prix du gaz autour de 60 €/Mwh, légèrement en-dessous du début de janvier 2022...La vague de froid enregistrée au cours de la troisième semaine de janvier a eu peu ''incidence'' sur le prix du gaz en raison probablement du niveau élevé de nos stocks...quant au Brent, il se dirige lentement vers les 90 $/b dû aux nouvelles en provenance de la Chine: levée des restrictions sanitaires dans l'espoir d'une ''détente sociale'' et d'une reprise économique MAIS, en contre-partie semble-t-il, d'une propagation plus importante du Covid 19...la baisse du billet vert contribue également à cette montée progressive du cours..par ailleurs, selon l'Agence Internationale de l'Energie (AIE), la demande mondiale de pétrole devrait progresser en 2023 pour atteindre environ les 102 M/bj (actuellement # 100 M/bj)...En fin de janvier, le retour prévisible à des températures plus clémentes et ''l'assurance'' des stocks de gaz entraînent un retournement du prix du gaz vers les 55 €/Mwh...
_ au cours de la 1ère semaine de février, malgré les températures basses enregistrées (en dessous des moyennes saisonnières) le cours du gaz se maintient dans une fourchette ''raisonnable '' 50/60 €/Mwh, due probablement par la bonne tenue des stocks et de l'approvisionnement en GNL... En revanche la tendance du cours du Brent progresse en raison 1_de la reprise économique ''espérée''  de la Chine après le ''desserrement'' sanitaire, 2_du séisme ''catastrophique et meurtrier'' que subissent la Turquie et la Syrie (fermeture d'un terminal d'exportation), 3_ de l'arrêt de l'approvisionnement par les ''réserves stratégiques'' US, 4_ de la menace de réduction de 5% de la production russe. A la mi-février, le retour à des températures plus clémentes (voire au-dessus des moyennes saisonnières) , a entraîné une baisse des prix tant du gaz (au-dessous des 50€/Mw) que du pétrole...
_ à la fin février et début mars, le prix du gaz reste au-dessous des 50 €/Mwh en raison de l'éloignement du risque de pénurie associé... au printemps qui arrive...et retrouve ainsi, ses niveaux d'août 2021..Quant au coût du Brent, celui-ci se maintient au-dessus des 80 $/b à la suite de la menace russe de réduire sa production de 625 000 b/j et de la reprise économique en Chine ...mais la crainte d'une hausse des taux par les banques centrales freine cette progression.. à la fin de la seconde semaine de mars, le prix du gaz franchit brutalement, à la hausse, le seuil des 50 €/Mwh...pour repasse, à la baisse, les 50 €/Mwh..
_ au cours de la troisième semaine de mars ''coup de tonnerre'' dans l'univers financier ... faillite de la banque américaine SVB (Silicon Valley Bank), crainte sur la banque Credit Suisse (doutes sur sa solidité financière...), risque de propagation de la contagion...  ces ''mauvaises'' nouvelles entraînent dans leurs sillages le risque d'une récession car la Banque Centrale Européenne (BCE) vient encore de croître son taux directeur de 50 pts et sera suivie par la FED +25 pts...la dernière semaine du mois de mars enregistre une vague de froid sur l'Hexagone qui entraîne une hausse du coût du gaz vers les 50 €/Mwh pour décroître quelques jours plus tard ... simultanément, l'arrêt des exportations du pétrole irakien vers la Turquie provoque une accélération du Brent vers les 80 $/b...

_ nouveau ''coup de tonnerre'' en ce début du mois d'avril... plusieurs membres de l'OPEP+ (en tête l'Arabie Saoudite, l'Irak, l'Algérie, les Emirats Arabes Unis, l'Oman, le Koweït) ont annoncé une réduction drastique de leur production de 1,16 Mb/j (contrat à terme ''mai'') pour maintenir le prix du baril au-dessus des 80 $/b. N'oublions pas la Russie, qui a déjà, réduit sa production de 500 000 b/j. Le marché pétrolier se trouve donc avec une réduction de 1,66 Mb/j, alors que la Chine s'ouvre...mais leurs ''exercices militaires autour de Taïwan en réponse à la rencontre de la Présidente de l'île avec l'interviewer de la Chambre des représentants américains, ...modèrent la hausse de l'or noir aux environs de 80 $/b...par ailleurs, le doute de la reprise économique chinoise persiste...quant au prix du gaz, il est à souligner que, celui-ci vient de passer, au cours de la troisième semaine d'avril, au-dessous du seuil des 40 $/Mwh!!! niveau de juillet-août 2021...des températures plus élevées, des stocks qui se remplissent... associés à une hausse des énergies renouvenables (solaire+éolien) en sont probablement à l'origine de cette baisse...
_ Ces tendances se poursuivent en ce début du mois de mai à la suite des annonces de la hausse de 25 points de base des taux directeurs des banques centrales US  (FED) et UE (BCE)... craintes sur le système bancaire américain à la suite des faillites de plusieurs banques US (la dernière la PacWest...)...inquiétude sur la dette USA... à la fin de la seconde semaine de mai, le Brent reste en dessous des 75 $/b, dû, probablement : 1_ au raffermissement du $ par rapport à €, 2 - à la reprise des exportations du pétrole irakien vers la Turquie (450 000 b/j), 3 - au maintien de l'accord de l'OPEP+. Le prix du gaz vient de passer au-dessous du seuil des
30 $/Mwh!!! niveau de juin 2021... soutenu par un niveau de stockage élevé, et de ce fait, d'une crainte ''moindre'' pour l'hiver prochain...au cours de la troisième semaine, même tendance: - le gaz en dessous des 30 $/Mwh, - le Brent flirte les 75 $/b malgré: 1- les inquiétudes liées aux incendies de l'ouest du Canada, 2- le retard pour redémarrer les exportations du pétrole irakien vers la Turquie, 3- doutes sur la reprise chinoise, 4- un renchérissement du dollar dû à l'accord probable sur la dette US...
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fin mai-début de juin... le prix du gaz baisse de nouveau ( inférieur à 25 €/Mwh) et atteint le niveau de juin 2021... 1 - les stocks sont pleins.. 2 - la production de gaz norvégien arrive abondamment... 3 - le GNL se dirige vers l'UE car l'activité de l'Asie décline..4 - l'été arrive... 5 - notre mix énergétique d'électricité verte augmente donc nos centrales à gaz sont moins sollicitées..quant au coût du Brent, ce dernier oscille entre : accord probable sur le relèvement du plafond de la dette US et doutes sur la diminution de la production de l'OPEP+ ( actuellement environ 42 Mb/j  _ 40% de la production mondiale) ... à l'approche de la réunion de l'OPEP+ du 4 juin, les cours du pétrole ont progressé de 72 à 75 $/b... à la suite de cette réunion, au cours de laquelle, seule l'Arabie Saoudite a annoncé une coupe de 1 Mb/j sur sa production pour le mois de juillet (10 à 9 Mb/j), le Brent atteint les 78 $/b ... mais l'incidence est de courte durée (le cours revient sur le seuil des 75 $/b) car l'économie mondiale reste atone (USA-Chine-EU)..la pression inflationniste persiste d'où une hausse est envisagée par les banques centrales qui pèse sur la croissance économique et donc de la demande..le Brent passera-t-il le seuil des 80 $/b souhaité par les membres de l'OPEP+ ???....le prix du gaz progressait à la fin de la semaine du 09/06/2023 pour se hausser au-dessus des 30 €/Mwh)...
et franchir, à la fin de la première quinzaine du mois de juin le seuil des 40 €/Mwh en raison de la baisse de l'approvisionnement en gaz par la Norvège, suite à de nombreuses fuites sur plusieurs installations (rappelons que la Norvège est devenu le principal fournisseur de gaz de l'Europe après l'embargo du gaz russe...)... mais redescendait vers  les 30 €/Mwh) le WE.... Quant au Brent, ce dernier repasse au-dessus du seuil des 75 $/b pour atteindre 76,26 $/b, en raison, d'une part, de la pause du taux directeur par la FED provoquant une baisse du dollar par rapport aux autres monnaies et, d'autre part, de la tentative de la relance commerciale par la Chine par une baisse de son taux directeur...
... hélas, à la période de l'équinoxe d'été, apparaît, à nouveau, les craintes d'inflation... non seulement aux USA (la FED maintient son taux directeur à 5%, mais ''menace'' des hausses prochaines..) mais également en Europe (BCE + 25 pts de base à 3,25%, la banque d'Angleterre + 50 pts à 5%, la Norvège +50 pts à 3,75%, la Banque Nationale Suisse (BNS) +25 pts à 1,75%) et... la Banque Centrale Turque... à 15%, en raison de son inflation annuel ''stratosphérique'' à hauteur de 80%... la récession est-elle là ???  le Brent se dirige vers les 70 $/b malgré les réductions de production de l'Arabie saoudite (1 Mb/j) et de la Russie (0,5 Mb/j) et le gaz vers les 30 €/MWh..

_ fin juin-début juillet, il semble que le niveau des 75 $/b pour le Brent soit un seuil d'équilibre partageait entre le risque d'inflation des pays consommateurs (hausse des taux directeurs) et la menace de diminution de la production de l'OPEP+, notamment par l'Arabie saoudite de ''poursuivre'' sa réduction de 1 Mb/j (n'oublions pas la Russie -0,5 Mb/j)... quant au gaz malgré les inquiétudes provoquées par la situation en Russie (''rébellion'' du groupe Wagner) et la confirmation de la fermeture programmée du gisement de Groningue cette année, le prix du gaz fluctue dans un canal ''30-35 €/MWh''...
__au cours de la seconde semaine de juillet, le cours du gaz est passé en-dessous du seuil des 25 €/Mwh... l'annonce par la Norvège, de la découverte d'un gisement de gaz en Mer du Nord (le plus grand gisement depuis 10 ans... 175 Mbep possible), associée à une hausse des approvisionnements en gaz norvégien et aux taux élevés des stocks (# 80%) en sont probablement les ''acteurs''.. quant au Brent, l'annonce de la baisse de l'inflation US (3% en juin contre 4% en mai) est de ''bon augure'' pour un fléchissement de la FED pour les prochains mois dans un ''ralentissement''  du taux directeur et, de ce fait, une baisse du $ par rapport aux autres monnaies, ce qui entraîne, pour les pays importateurs une diminution de leur ''facture'' donc une incitation à une hausse de la demande d'hydrocarbures... pour une ''offre'' en contraction (Arabie Saoudite et Russie alors que les dernières publications sur les prévisions de la demande (en hausse) en 2023 (AIE et OPEP+ #102MB/j) et 2024 (AIE= 103Mb/j, OPEP+= 104Mb/j)... tous ces éléments ont propulsé le Brent au-delà des 80 $/b...mais la faiblesse de la croissance chinoise ''leste'' le prix du Brent.. ...les températures élevées enregistrées aux USA et UE, au cours des dernières semaines, ont provoqué une augmentation de la consommation d'électricité par l'utilisation intensive des ''climatiseurs'' et, par voie de conséquence, une ''sollicitation'' plus importante des centrales à gaz...cependant, au cours de la 4ème semaine de juillet, le prix du gaz, après une brève excursion au-dessus des 30 €/MWh (due probablement à quelques inquiétudes en provenance de l'approvisionnement en gaz norvégien), est redescendu en dessous des 25 €/MWh... en concomitance, le cours du Brent ''s'envole'' vers les 85 $/b, le marché pétrolier semble de moins en moins anxieux à une dégradation de l'économie mondiale ...après le relèvement, par le FMI, de l'estimation de la croissance en 2023 (de 3% contre 2,8%) notamment avec les nouvelles mesures de relance intérieure en Chine (baisse des taux) et plus ''préoccupé'' par les limitations de l'offre (Arabie saoudite: -1 Mb/j et Russie: -0,5 Mb/j) et ce malgré, les relèvements des taux directeurs de 25 pts de base par la FED (5,5% contre 5,25%) et par BCE (3,75% contre 3,5%) pour lutter contre l'inflation..
_  au cours des quatre semaines d'août:
1_ l'annonce par l'Arabie Saoudite de poursuivre sa réduction de production de 1 Mb/j jusqu'à fin septembre, suivie par la Russie (0,3 Mb/j)
2_ l'abaissement de la note de la dette US de AAA à AA+ entraînant la faiblesse du billet vert
3_ les tensions en mer Noire (fuite sur l'oléoduc polonais de Druzhka, attaque de drone ukrainien sur un pétrolier russe)
4_ la baisse de 17 Mb des stocks US
5_ l'AIE a revu à la hausse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de brut en 2023 (102,2 Mb/j, niveau record jamais atteint jusqu'à présent...les émissions de CO2 vont probablement battre également des records...)
......propulsent le cours du baril au-dessus des 85 $/b, mais le marché du brut reste confronté à des signaux contradictoires avec la faiblesse des signaux économiques notamment en Chine et, plus récemment, aux USA et en Europe, combinée à des taux d'intérêt élevés réduisant, l'avenir économique mondial (moins d'investissement) et la stratégie de réduction de production d'hydrocarbures adoptée par l'OPEP+ et notamment par l'Arabie Saoudite et la Russie..._ quant au prix du gaz, ce dernier qui se stabilisait autour des 30 €/MWh subit une hausse de près de 40%, mercredi 9 août, pour atteindre le 23 août, 42,792 €/Mwh, à la suite des menaces de grève sur les plateformes australiennes de GNL ( société Woodside qui produit près de 10% de la production mondiale), _ soulignons, que la hausse est, depuis la mi-juillet, de 73%...au cours de la 4ème semaine d'août, un accord est intervenu avec la direction de Woodside entraînant le cours du gaz vers les 35 €/Mwh..
___ fin août-début septembre, l'arrivée de l'ouragan Idalia dans le golfe du Mexique, le coup d'état au Gabon, la baisse des stocks US et la prolongation jusqu'à fin décembre 2023 des réductions de production de l'OPEP+ (notamment l'Arabie saoudite_1 Mb/j et la Russie 0,3 Mb/j) renforce le maintien du cours du Brent vers les 90 $/b. Quant au gaz, les cours repassaient les 30 €/Mwh le 8/09 à la suite du début d'une grève tournante sur les sites de production de Chevron (5% des approvisionnements mondiaux de GNL)...au cours de la seconde semaine de septembre, le prix du gaz atteint les 35 €/Mwh et le Brent poursuit sa hausse vers les 95 $/b, en raison du déficit de l'offre par rapport à la demande et entraîne ainsi le cours du brut vers des sommets atteints en novembre 2022...cette tendance vient de se renforcer à la suite de la publication de bons indicateurs notamment la production industrielle en Chine (plus important importateur avec 16,7 Mb/j) et aux USA... Les prix du pétrole restent en hausse lundi18/09 et s'approchent de la barre de 95 dollars, toujours poussés par les craintes d'un déficit important sur le marché avec les réductions volontaires de l'Arabie saoudite et de la Russie et la résilience de la demande. Les analystes évoquent à présent la possibilité d'un baril à 100 dollars...cependant, la course vers les 95 $/b est de courte durée... refroidissement...dû à l'altitude... non, mais à l'attitude de la FED d'un statu quo et... d'une possibilité d'une nouvelle hausse du taux directeur d'ici la fin de l'année, suivie de la BCE(+25 pts de base=4%)...la dernière semaine de septembre enregistre un cours du baril au-dessous des 95 $/b car, la Chine inquiète l'économie mondiale: la crise de l'immobilier (Overgrande) _ la Russie moins restrictive sur ses exportations de produits raffinés _ le dollar se renforce par rapport aux autres devises..mais les stocks US déclinent...hausse substantielle du gaz qui dépasse les 40 €/Mwh due probablement à l'approbation du conseil des ministres des Pays-Bas de la fermeture du gisement de Groningue (le plus grand d'Europe) cette année... mais repasse en dessous des 40 €/Mwh à la fin de septembre en raison du démarrage du champ gazier de Troll et de la fin des grèves en Australie...
__ fin septembre-début octobre, malgré le maintien des restrictions de productions de l'OPEP+, le cours du brut ''chute'' en dessous des 85 $/b, entraîné par les mauvais indices manufacturiers de nombreux pays (Chine, USA, EU) qui font craindre un ralentissement de l'économie mondiale et le risque d'un relèvement des taux directeurs des banques centrales pour tenter de juguler une inflation persistante ...quant au gaz, après une ''excursion'' vers les 40 €/Mwh, celui-ci revient en dessous des 30 €/Mwh en raison de la fin des grèves en Australie, des températures estivales à cette période d'année d'où des stocks de gaz élevés et  du redémarrage du champ gazier de Troll..
_ Hélas, l'attaque du Hamas contre l'Israël le 07/10 a entraîné le cours du Brent au-delà des 90 $/b
et, coïncidence troublante, au même moment, une fuite ''suspecte'' se produisait sur le gazoduc (Balticconnector) reliant la Finlande à l'Estonie(un an -26/09/2022- après les sabotages des Nord Stream 1 et 2)... propulsant le cours du PEGN au-dessus des 50 €/Mwh, aidé également par la reprise des grèves en Australie, l'arrêt de production de Chevron au large des côtes d'Israël et des prévisions météorologiques européennes plus froides...au cours de la 3ème semaine d'octobre les risques géopolitiques maintiennent le cours du brut au-delà des 90 $/b et le gaz revient en-dessous des 45 €/Mwh... pendant la 4ème semaine d'octobre, le prix du Brent oscille autours des 90 $/b en raison: 1_des efforts diplomatiques au M.O. pour retarder l'offensive israëlienne, 2_de  l'arrivée de l'aide alimentaire à Gaza, 3_moins de pression sur la demande à la suite de mauvais indicateurs d'activité en EU, au Japon, en Australie, 4_la levée des sanctions US sur le pétrole vénézuélien, 5_un $ fort...
__ fin octobre-début novembre le prix du Brent revient vers les 80 $/b poussé par les mauvais indicateurs économiques...qui ont probablement influencé les banques centrales à un statu quo sur leurs taux directeurs (FED(5%), BCE(4%)...) et des stocks US élevés...mais restons prudent, un embrasement du conflit au M.O. n'est pas à écarter....... quant au prix du gaz, ce dernier décline (< 35 €/Mwh) en raison d'un approvisionnement plus important en GNL...les stocks sont conformes aux prévisions... malgré les récentes déclarations de l'Arabie saoudite et de la Russie de maintenir leur réduction de production d'hydrocarbures, les dernières publications du FMI sur la morosité des économies aux USA et en Europe prime sur les marchés pétroliers... et la dernière nouvelle en provenance de Chine sur la baisse de 6 % de leurs exportations vient renforcer cette tendance..._à la mi-novembre le gaz progresse vers les 40 €/Mwh et le Brent chute au-dessous des 80 $/b (hausse des stocks US+économie en berne) pour y revenir légèrement au-dessus!!!...la perspective de la prochaine réunion de l'OPEP+, le 26 novembre prochain n'y est probablement pas étrangère..
__ au cours de la 3ème semaine de novembre, les prévisions de température de plus en plus froide entraînent une hausse de la demande de gaz et, par voie de conséquences, une pression sur les prix..> à 40 €/Mwh.., alors que le Brent se stabilise autour des 80 $/b à la suite du report de la prochaine réunion de l'OPEP+ au 30 novembre prochain...
___ la période, fin novembre-début décembre, a été marquée par le report au 30 novembre, de la réunion de l'OPEP+ (soulignons les dissensions en son sein entre l'Arabie saoudite et certains pays africains dont l'Angola et le Nigéria). A l'issue de cette réunion, l'Arabie saoudite à reconduit sa réduction de 1 Mb/j jusqu'à fin mars 2024 (en vigueur depuis juillet 2023) quant à la Russie elle passe de 300 000 b/ à 500 000 b/j . La baisse totale serait de 2,2 Mb/j mais la tendance '' au ralentissement'' de l'économie mondiale (Chine, US, EU...) prédomine... le Brent, qui avait dépassé les 82 $/b oscille autour des 75 $/b...quant au gaz, les prévisions météorologiques au-dessus des moyennes saisonnières, des stocks élevés et une offre norvégienne importante entraînent le prix du gaz vers les 35 €/Mwh... à la mi-novembre, l'annonce par la FED d'un statu quo sur son taux directeur (entre 5,25% et 5,50%) et la perspective, pour 2024, de plusieurs baisses de ce dernier, a renforcé les autres devises étrangères et, par voie de conséquences, une demande plus forte sur le pétrole...le gaz poursuit son déclin et repasse au-dessous des 30 €/Mwh.... au cours de la 3ème semaine de décembre, en réponse aux offensives israëliennes sur Gaza, les Houthis (rebelles yéménites, alliès du Hamas) ont attaqué, en mer Rouge, des navires ravitailleurs et notamment des tankers pétroliers (BP)... les obligeant à passer par la corne de l'Afrique. Ces perturbations provoquent un allongement du trajet et donc du coût...le Brent repasse au-dessus des 80 $/b... le gaz, dépasse les 30 €/Mwh... mais au cours de la dernière semaine de décembre, une coalition internationale menée par les USA pour sécuriser la zone, a permis une reprise du trafic par le canal de Suez et les températures ''exceptionnellement hautes'' dans l'hémisphère nord... entraînent un repli du Brent vers les 77 $/b et le gaz vers les 28 €/Mwh..

-►le 27 février 2024: GRTgaz publie---> https://www.connaissancedesenergies.org/afp/la-consommation-de-gaz-en-france-en-2023-au-plus-bas-depuis-une-trentaine-dannees-selon-grtgaz-240227  

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2022

-►le 23 mai 2022  : décret du 9 avril 2022 relatif à l'aide en faveur de l'habitat collectif résidentiel face à l'augmentation du prix du gaz naturel--->  _ https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045537717

-►le graphique ci-dessous, révèle (abstraction de l'évolution €/$)  ''si besoin était'' la volatilité du prix du gaz quotidien PEGN par rapport au prix du pétrole... et par voie de conséquence... le gel, par le gouvernement du prix du gaz ''non-industriel'' pour 2022...., hélas, pour les  GT, nous ne sommes pas concernés... peut-être existe-t-il un espoir... la presse en parle de plus en plus et notamment sur TF1, le mardi 25 janvier 2022 dans le journal de 13h00, le jeudi 10 février et le mercredi 16 février dans le journal de 20h00, diffuse des reportages sur de nombreuses résidences de grandes copropriétés (sociales et privés)  qui se plaignent de l'augmentation de leurs charges due essentiellement à la hausse vertigineuse du prix du gaz ... depuis quelques jours le cours du gaz est passé sous le seuil des 80 €/MWh ... _un paramètre à ne pas ignorer...le prix de l'électricité...1/4 des centrales nucléaires sont en maintennce... et les dernières nouvelles diffusées par EDF (08/02/2022) sur ses estimations de production nucléaire pour l'année en cours et pour 2023 ne sont pas pour apaiser les marchés... le retrait partiel des troupes russes à la frontière ukrainienne (fin des exercices tactiques...) mardi 15/02 entraîne une baisse de 15% du cours du gaz < à 67 €/MWh.. pour repasser vendredi 18/02, le seuil des 73 €/MWh en raison des nombreux heurts entre séparatistes prorusses et l'armée ukrainienne... la proclamation de l'indépendance de deux provinces du Donbass par la Russie lundi soir (21/02/2022) a peu d'impact sur le prix du gaz... en revanche le cours du Brent s'envole vers les 100 $/b...
_ le 24 février 2022 l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe provoque l'envolée des énergies fossiles: le gaz >  120 €/MWh et le Brent > 100 $/b dans la matinée du 25/02/2022. Néanmoins, après ce choc, les marchés ont ''raison garder' pour  revenir à des niveaux, certes élevés, gaz < 90€/MWh, Brent < 100 $/b, mais ''plus raisonnables. Hélas, le mois de mars débute par une intensification de l'invasion de l'Ukraine et des sanctions économiques.
qui propulsent les marchés (mardi 08/03/2022): gaz > 200 €//MWh, Brent > 139 $/b et l'électricité...700 €/MWh max.!! le 04/04--> électricité..3000 €/MWh !
_ le 11 juin : - malgré les tensions géopolitique US+EU -> Russie, le prix du gaz reste dans le canal des 70-80 €/Mwh.... et le cours du Brent 110-120 €/b, en raison probablement de la politique chinoise du ''zéro-covid'' qui entraîne une tension plus faible sur la demande..
_ le 18 juin : - fait majeur de la semaine... réduction des livraisons de gaz russe (77 €/Mwh-->105 €/Mwh)  - la FED augmente le taux directeur de 0,75 pt de base (entre 1,5% et 1,75%) pour lutter contre l'inflation aux USA (environ 8,5%) et le risque de récession..
_ ''le Malheur des uns fait le Bonheur des autres'' ... la Russie brade son pétrole et...bat tous les records d'exportation vers la Chine et devient son 1er fournisseur devant l'Arabie Saoudite... de même pour l'Inde...
_ la défaillance de nos réacteurs nucléaires pèsent de plus en plus sur notre facture d'électricité---> ici ... et... notre facture de gaz... ''heureusement'' le charbon est ''là'' !!!!
_ début juillet: la grève des pétroliers en Norvège propulse le cours du gaz vers les 150 €/Mwh... alors que la crainte de la récession dans le monde ''pousse'' le cours du Brent vers les 100 $/b...
_ durant le mois de juillet, la reprise du gaz norvégien ramène le cours aux environs des 95 €/Mwh pendant quelques jours.. mais les hypothétiques problèmes de maintenance du Nord Stream 1 projettent, à nouveau, le cours au-dessus des 130 €/Mwh pour revenir vers les 120 €/Mwh...
_ au cours du mois d'août, le risque de récession prédomine sur le cours du Brent ( ~ 100 $/b..), mais le doute (délai de maintenance prolongé sur plusieurs centrales nucléaires) subsiste sur la production d'électricité (> 1 000€/Mwh!!!!) qui entraîne le prix du gaz vers les sommets (>200 €/ Mwh).... accentué par les 3 jours d'arrêt du Nord Stream1 31/08-01/09-02/09/2022..
_suivi par une chute vertigineuse en ce début du mois de septembre.. à 75 €/Mwh!!! et une remontée vers les 150 €/Mwh...mais à la mi-septembre, une nouvelle ''dégringolade'' vers les 100 €/Mwh...due probablement aux annonces d'une remise ''en route'' de quelques réacteurs nucléaires... une volatilité déstabilisante au regard du prix du Brent qui est maintenu dans un canal 80-90 $/b par le risque de récession dans le monde (hausse de l'inflation et des taux directeurs des banques centrales...) et ce malgré la diminution de production de l'OPEP+(-100 000 b/j).
 _ fin septembre-début octobre,  franchissement à la baisse du seuil des 70 $/Mwh du prix du gaz... en dépit des 3 fuites (attentats ?) sur les 2 gazoducs Nord Stream 1 et 2... ses derniers étant à l'arrêt, l'un pour des motifs de maintenance (NS1) et l'autre pour des motifs géopolitiques.. la hausse des importations en GNL, le ''remplissage'' des stocks et les températures ''clémentes'' en sont, probablement les principaux ''acteurs''... quant au coût du Brent, l'annonce (05/10) redoutée et attendue.. de la baisse de 2 Mb/j de la production de l'OPEP+ (environ 43 Mb/j actuellement), entraîne lentement mais surement les prix vers les 100 $/b...
_mi-octobre, chute brutale du prix du gaz (< 30 €/Mwh) pour atteindre le 19 octobre le prix de 13,18 €/Mwh (niveau de juin 2021) suite à l'annonce de l'Allemagne d'avoir atteint son objectif de remplissage des stocks à 95%, à la hausse des importations de GNL et à des températures clémentes. Quant au Brent, le cours se maintient dans le canal des 90-100 $/b préoccupé entre ''récession mondiale et offre de brut''...
_ en ce début du mois de novembre, il est à souligner un ''maintien raisonnable 40-50 €/Mwh'' du prix du gaz, ainsi que le cours du Brent..néanmoins, gardons en ''mémoire'' que ce dernier risque de se ''réveiller'' dès l'annonce, par la Chine, d'un assouplissement de sa politique du ''zéro-Covid''... 
_ à la mi-novembre, de nouvelles hausses substantielles du prix du gaz se manifestent pour se diriger vers les 100 €/Mwh... probablement due à la baisse des températures...l'hiver arrive... à la prise de contrôle par les gouvernements allemand et polonais des gazoducs passant sur leur territoire et à la baisse de l'approvisionnement norvégien (incident sur une plateforme de production)... ces fluctuations confortent, une fois de plus, l'extrême ''volatilité'' du cours du gaz ... et, par voie de conséquences, les perspectives à court et moyen terme... quant au prix du Brent, le risque de récession mondiale (confinements en Chine) prédomine sur les marchés pétroliers malgré l'entrée en vigueur, le 5 décembre de l'embargo européen sur le pétrole russe...
_ au début du mois de décembre, le prix du gaz se maintient aux environs de 130 -140 €/Mwh... l'hiver est là...en outre, l'Allemagne et la Pologne ayant décidé d'arrêter l'approvisionnement via l'oléoduc passant sur leur territoire vient ''s'ajouter'' à l'embargo européen sur les importations russes...   le Brent est passé sous le seuil des 80 $/b, malgré le statut-quo des membres de l'OPEP+, réunis le dimanche 4 décembre à Vienne et l'entrée en vigueur le 5 décembre ''du plafonnement'' du prix du baril  du pétrole russe à 60 $ et, soulignons le, l'assouplissement des restrictions sanitaires en Chine (la crainte d'une reprise des contaminations par le Covid domine ...). En dépit des ''grands froids'' , le prix du gaz décline vers les 110 €/Mwh... le ''redémarrage'' de plusieurs de nos réacteurs nucléaires est, probablement, un des paramètres à prendre en considération...
_ en cette fin d'année 2022, restons positifs... les températures au-dessus des moyennes saisonnières induiront une diminution de notre consommation de gaz et, par voie de conséquences, de notre facture ''chauffage'' et de notre impact ''carbone'' ...également moins de pression sur les prix d'où la descente vers les 65 €/Mwh... par ailleurs, cet ''épisode'' pluvieux en période de vacances nous ''agace''  et freine nos sorties... mais nos nappes phréatiques et les réservoirs de nos centrales hydrauliques se remplissent... quant au Brent, sa tendance est à la hausse (vers les 85 $/b) due aux menaces russes de réduction de leur production d'hydrocarbures (500 000 à 700 000 b/j) en réponse à l'entrée en vigueur au début de décembre, de l'embargo de l'Union Européenne sur le pétrole  russe associé au ''plafonnement'' des prix du brut sur les livraisons hors de l'Europe... par ailleurs, les grands froids qui sévissent sur le continent nord-américain et les fuites sur l'oléoduc Canada-USA (Keystone) engendrent des pressions sur les cours..

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