Evolution des salaires et des entreprises extérieures de 1964 à 2007* (euros 2006) et du nombre d’employés 

Graphique 6.3.7.3

L’analyse de cette masse budgétaire (courbe en rouge), qui comprend non seulement les salaires bruts et les charges sociales mais également  l’ensemble de la sous-traitance réalisée par les entreprises extérieures dans le cadre de contrats annualisés et ponctuels, permet de distinguer 3 grandes périodes :
-  la première 1964-1979 (15 ans) au cours de laquelle cette masse budgétaire est en progression constante passant de 0,7 M€ en 1964 à 1,9 M€ en 1979 (+270%), due essentiellement à la forte hausse de l’indice des prix et, en fin de période, à un accroissement du nombre d’employés (les salaires et charges étant indexés au minimum sur cet indice). Il est à noter que jusqu’en 1972, le personnel de l’USGT assurait la plus grande partie des travaux d’entretien et de conservation de la copropriété.
-   la seconde période 1979-1986 (7 ans) constitue un premier palier en se maintenant dans une fourchette de 1,8 à 1,9 M€ malgré la forte inflation des années 1979-1983 compensée en partie par une diminution du nombre d’employés
-  après deux années 1987 et 1988 de hausses significatives (2,1 M€ et 2,5 M€) dues probablement à l’accroissement de travail provoqué par la réhabilitation des façades (2 à 3 personnes supplémentaires) une troisième période 1988-2005 (17 ans) avec des dépenses variant dans un intervalle de  2,3 à 2,5 M€ qui confirme la bonne gestion de l’USGT dans la maîtrise de cette masse budgétaire.

L’année 2006 et l’année 2007 prévisionnelle seraient-elles l’amorce d’une tendance à la hausse ? 

En ce qui concerne les salaires et les charges sociales du personnel de l’USGT, celles-ci est en hausse constante jusqu’en 1982 (1,7 M€) due à la forte inflation et à l’augmentation du nombre d’employés qui passe de 43 à plus de 50.

Un palier est à observer de 1982 à 1994 (12 ans) où ce poste varie de 1,7 à 1,9 M€.

Depuis 1994 une tendance à la baisse se dessine pour atteindre 1,3 M€ en 2006. Ce fléchissement est la conséquence directe de la diminution du nombre d’employés qui passe de 44 en 1994 à 31 en 2006.