Evolution comparative des masses budgétaires de 1963 à 2018* (euros 2016)
 Pour faciliter l’analyse du budget des GT, nos ‘anciens’ comptables l’ont subdivisé en quatre grandes masses budgétaires :
1 – les charges obligatoires fixes (en bleu: eau froide + le chaleur + l'électricité + les impôts + les assurances)
2 – les frais de personnel de l’USGT, de la sous-traitance et/ou de l’intérim (en rouge : sécurité, accueil, nettoyage, espaces verts, entretiens, peintres, administratifs, vêtements de travail, frais de déplacements du personnel, œuvres sociales..)
3 – les frais de conservation de la copropriété (en vert : curage colonnes d’eaux usées, fournitures et matières, hygiène, fourniture diverses, décapage des colonnes de vide-ordures, curage des égouts, matières entretien et peintures, fournitures jardins, travaux occasionnels, matériels jardin non amortissable, réfection des allées, garanties totale installation chaufferie, matériel de bureau, espaces verts et entretien...)
4 – les divers (en bleu-clair :  contentieux, subvention O.D.C., frais généraux de bureau, expédition O.D.C., frais d’Assemblées Générales, provisions pour aléas.....)

Le graphique ci-dessus, en histogramme cumulé,  révèle les fluctuations des charges obligatoires dont la tendance sur les quarante dernières années allait en diminution (à l’exception de la période 1980-1985), mais les augmentations successives  des hydrocarbures depuis le début du 21^ème siècle, risquent d’inverser cette tendance. A l’inverse les frais de personnel auxquels il faut ajouter la sous-traitance et l’intérim qui progressaient d’une manière constante depuis 1963 (800.000 € ) jusqu’au pic de 1991 (2,5 M€) s’est maintenu jusqu’en 2006 vers 2,4 M € en moyenne, pour atteindre 2,8 M€  au cours de la période 2008-2014 et 3 M€ en 2016. Quant aux frais de conservation de la copropriété, elles ont une tendance à croître depuis une trentaine d’année pour atteindre  plus de 1 M€ en 2016, ce qui est compréhensible pour une copropriété de 60 ans.

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